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Le 22 décembre, profitant d'une bonne fenêtre météo, nous laissons
le Petit-cul-de-sac-Marin dans notre sillage en direction de
Marie-Galante.
Nous avons décidé d'y passer les fêtes de fin d'année dans le calme de notre mouillage préféré.
C'est dans ce cadre chatoyant que nous en entamons tranquillement la nouvelle année.
Il est difficile de se lasser de cet eden de l'aube au crépuscule où le soleil embrase les Saintes.
Le 21 février sous un ciel lumineux, nous dirigeons notre étrave vers Goyave sur la proche côte est de Basse-Terre.
La remontée rapide des hauts fonds motive un mouillage prudent à distance de l'îlet Fortune.
Curieusement cachée dans la mangrove qui borde la côte, l'embouchure de la rivière La Rose nous tend les bras.
En partant du bateau avec notre kayak, nous la retrouvons et remontons tranquillement son cours d'eau fraiche.
Le très faible tirant d'eau de notre embarcation nous permet aussi de rejoindre l'îlet voisin hors du petit chenal d'accès.
Le premier mars, lendemain de l'arrivée de nos chers touristes,
Morgane, Etienne et Alizé, nous quittons la marina pour la Dominique.
Partis en fin de matinée, nous prenons finalement un coffre aux Saintes pour une courte escale d'une nuit.
A Portsmouth, la petite famille débute son séjour par l'incontournable visite de la rivière indienne avec Daniel.
Nous profitons du beau temps pour faire quatre belles plongées avec les sympathiques clubs locaux.
Le 04 mars avec Paul, guide professionnel au top, nous faisons un tour de l'île inhabituel.
La côte au vent est toujours aussi belle, Calibishie, Red Rock ...

Toujours en longeant la côte est, après Pagua Bay, nous découvrons la partie indienne caraïbe de la Dominique.
La vue est belle depuis le petit restaurant choisi par notre guide.
Après Castle Bruce, Paul emprunte la route traversière en direction de Emerald Pool.
Un sentier bien entretenu descend vers la cascade où nous prenons un bain très rafraichissant.
Le 06 mars, nos enfants quittent Yann ar Mor pour deux journées supplémentaires en Dominique à l'hôtel de Douglas Bay.
Cela leur évite les heures de navigation d'un retour direct en Guadeloupe que nous effectuons tous les deux le lendemain.
Dans un alizé fraîchissant constamment entre 22 et 28 nds, notre
voilier retrouve de belles vitesses avec sa nouvelle grand-voile.
Le 08 mars, le soleil s'est déjà couché quand nos touristes nous retrouvent après une rapide traversée en navette.
Nous partons le lendemain matin à l'îlet Cochon en annexe pour une dernière baignade et balade avant leur départ le soir même.
Le 15 mars, avec Jacques et Mylène, nous garons la voiture à Moscou sur le plateau du Palmiste au-dessus de Gourbeyre.
Après avoir traversé le Petit Carbet, puis les plantations sauvages d'anthurium, nous attaquons l'ascension de la Madeleine.
Hélas, au bout d'une longue ascension souvent difficile, le sentier
encore éloigné du sommet se perd dans une forêt infranchissable .
Le 17 mars, notre joyeuse équipe attaque l'ascension du Nez Cassé depuis Papaye à
Matouba.
Avec un dénivelé de 930 m, cette randonnée en boucle est très mal balisée et réputée difficile.
Heureusement, la précieuse application Maps3D nous permet de retrouver la trace enregistrée (fichier .gpx) sur mon iphone.

De retour au point de départ, nous apprécions d'avoir pris ce grand bol
d'air juste avant l'obligation du confinement contre le Covid-19.
Mais pas question de rester trop confiner, dans un rayon d'un
kilomètre, enfin parfois plus, il y a de belles balades à faire en
partant de la marina.
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